venerdì 19 ottobre 2012

Santuario Adonai Informazioni in Francese

SANCTUAIRE ET HERMITAGE DE LA SAINTE VIERGE, NOTRE DAME D'ADONAI
BRUCOLI (SR)

Le Sanctuaire de la Sainte Vierge, Mère de l’Adonaï, s’élève aux alentours de
Brucoli, à quelques dizaines de mètres de la mer en se reflétant dans les eaux
du golfe de Catane, dans la partie nord de la province et le diocèse de Syracuse.
Selon d’anciennes traditions et de témoignages, repris aussi par plusieurs
écrivains du XVIIe siècle, ce Sanctuaire résulte être un oratoire paléochrétien
et une des premières églises dédiées au culte de Marie SS. comme le témoigne le
titre hébreu « Mater Adonaï » (Mère de mon Dieu). C’est surement le Sanctuaire
de Marie, le plus ancien de la Sicile et peut-être, aussi du monde chrétien
occidental. Une présence chrétienne dans ce lieu est documentée dès l’année 253
de l’ère chrétienne.
L’oratoire dédié à Marie SS. Mater Adonaï fut fondé dans la première moitié
du IIIe siècle par un chrétien appelé Publio de Trotilo, dans une des
nombreuses grottes d’un hypogée préexistant, appelées « grottes du Grec »,
grottes habitées dès la préhistoire et successivement par les Grecs au VIIIe
siècle avant Jésus Christ, au temps de la colonisation grecque de la Sicile.
Dans ces grottes, assez isolées, successivement transformées par les Grecs en
une nécropole, se refugièrent quelques chrétiens de la communauté chrétienne de
Lentini, opprimée par la sanglante persécution de Decio et Valeriano.
Le Sanctuaire est constitué d’une grotte devant laquelle, au XVIIe siècle,
après sa découverte, a été construit un avant-corps en maçonnerie qui lui donne
l’ aspect d’une église petite et modeste.
Sur le mur au fond de la grotte , sur la roche vive, on trouve la fresque de
la Mère de l’ Adonaï , réalisée, selon la tradition, par Saint Agatone, évêque
de Lipari, qui s’était refugié dans ce lieu avec des chrétiens de Lentini. La
Vierge est représentée assise sur une couronne de nuages. Elle tient dans ses
bras l’Enfant Jésus qui de sa main droite empoigne une croix tandis que de la
gauche pose son sceptre sur le monde. L’image, selon l’avis des savants porte
les signes de plusieurs interventions qui se sont suivies dans le temps
(couronnes et globe), mais personne n’a été jusqu’à ce moment à même d’en dater,
avec sureté l’âge.
Dans cette grotte se convertit à la foi chrétienne Alexandre 1ère ministre du
tyran de Lentini, survenu après le martyre des trois frères Saint Alfio, Saint
Cirino et Saint Filadelfo. Après son baptême, Alexandre prit le nom de Neofito.
Ensuite il devint Prêtre et le premier Evêque de la communauté chrétienne de
Lentini. Une très ancienne inscription retrouvée dans une église de Lentini
témoigne le culte à Marie comme Mère de notre Seigneur Jésus Christ (Mère
Adonaï ) bien avant le Concile d’Efeso.
Au IVe siècle durant le meilleur climat de liberté religieuse instauré par l’
Edit de Constantin, cette grotte fut abandonnée aussi, parce qu’elle était
située dans un lieu désert loin des lieux habités. De l’oratoire à Marie Mater
Adonaï il ne reste que le souvenir, et on est perdit même les traces pendant
environ mil ans, même si une tradition rappelait le souvenir d’une grotte grâce
à une image de la Vierge que personne n’avait plus retrouvée. On pourrait
penser qu’à l’époque de l’invasion arabe de la Sicile, cette grotte fut cachée
pour éviter sa destruction comme le furent de nombreux autres symboles de la
foi chrétienne.
La redécouverte de la grotte avec la fresque de la Vierge eut lieu
probablement entre le XIVe et XVe siècle. On raconte qu’un berger la
découvrit d’une façon étrange et peut-être miraculeuse. Après avoir libéré un
bœuf qui était tombé dans un trou du terrain, après identifier comme la lucarne
de l’oratoire, le berger fut attiré par une lumière intense et mystérieuse qui
brillait à l’intérieur du trou : il descendit à travers la lucarne et découvrit
une image illuminée de la Vierge avec son Enfant.
Le lieu devint immédiatement la destination de pèlerinages et quelques années
après, à coté de la petite église fut construite une petite cénobie (aujourd’
hui plus connus comme ermitage) par un groupe de soldats espagnols, qui étaient
arrivés là pour une visite occasionnelle, mais il restèrent enchantés par la
beauté de l’image et du site. Après avoir abandonné la vie militaire ils
donnèrent vie à la Communauté monastique laïque de l’Adonaï, très particulière,
existée jusqu’en 1950, an de la mort du dernier moine.
Ces cénobites observaient leur propre règle tirée en partie de la fusion des
règles bénédictines et cisterciennes. Cette Communauté de cénobites se
distingua par la vie de sainteté et par la promotion du culte de l’image sacrée
de la Vierge Marie.
Le Sanctuaire de l’Adonaï constitue aussi une des plus anciennes églises de l’
Italie méridionale et en particulier, de la Sicile sud orientale, survécue même
au séisme catastrophique du 11 janvier 1693 qui rasa au sol et provoqua un
épouvantable bilan de vies humaines, presque un tiers de la Sicile. Des
documents notariaux témoignent de l’existence de l’église de l’Adonaï dès le
début du XVIIe siècle.
Durant la première moitié du XVIIIe siècle, Louis de Léon de Faenza se mit à
la tête d’un groupe de volontaires, reconstruit à zéro l’ermitage avec 18
cellules (celles d’aujourd’hui), restaura et rendit encore plus grand l’
oratoire, édifiant un avant-corps et formant ainsi la petite église actuelle.
La Communauté eut un grand succès pendant tout le XVIIIe siècle et XIXe siècle
sous la direction de grands personnages comme, Frère Louis de Léon de Faenza,
Frère Luis Bellieri de Pavie (le fondateur du célèbre Hermitage de Saint
Corrado à Noto) Frère Alfio Drago de Melilli et Frère Alfonzo Vigo de
Acireale.
Au XVIIIe siècle l’Hermitage eut sa plus grande période de splendeur et par
conséquence une renaissance du culte de la Vierge Mère de l’Adonaï. En février
1740 les Frères de l’Adonaï obtinrent la clôture pontificale mais durant la
première moitié du XIXe siècle la Communauté tomba dans la décadence, et ainsi
la cénobie resta vide de 1809 à 1839. Pendant tout cet période, l’indifférence
et l’abandon réduisirent la petite église et l’hermitage dans des conditions
très misérables, presque des ruines, et le lieu resté en abandon fut pillé et
dépouillé complètement. En 1839 huit hermites sans la direction de Frère
Alfonse de Jésus et Marie (des marquis Vigo de Acireale), repeupleront l’
hermitage et grâce à l’aide généreuse des privés et des Ordres religieux
(surtout les Clarisses et les bénédictins de Catane) l’église fut restaurée. La
petite église fut nettoyée (à nouveau), ornée et remplie de reliques et de
tableaux inspirés à l’histoire de l’oratoire.
En 1841 le Pape Grégoire XVI accorda l’indulgence plénière à touts ceux qui, s’
étant confesses et ayant communié, auraient visité le sanctuaire le Jour de
fêtes de Marie Mater Adonaï (5 août), de l’Immaculée Conception, de la
Nativité de la B.V.M. , de la Purification et de l’Assomption et déclara «
Autel privilégié quotidien perpétuel » l’autel situé au-dessus de l’image de la
B.V.M.
Cet Autel du XVIIe siècle fut néanmoins démantelé en 1847 pour être substitué
par l’autel actuel qui avec une sorte de corniche en marbre polychrome
encastre, comme dans un tableau, l’image de la Vierge, et au cours de l’
aménagement définitif de la grotte sacrée on retrouva, sous le pavé, les
tombeaux des anciens ermites.
Les années allant de 1866 à 1876 furent très agitées, quand à la suite des
lois subversives du nouvel Etat italien, les moines de l’Adonaï risquèrent de
se voir confisquer la cénobie et tout ce qu’ils possédaient.
À ce propos naquit une querelle judiciaire qui se conclut avec la victoire des
frères, même si pendant toute cette période, il durent vivre, malgré eux, à l’
intérieur du couvent avec les ouvriers travaillant au chemin de fer voisinant,
en construction, et le Gouvernement leur donna la permission d’habiter à l’
Adonaï.
Même à la fin du XIXe siècle, la communauté de l’Adonaï dut subir une nouvelle
période de crise momentanée, mais terrible.
Durant les premières années du XXe siècle le nombre des moines a
progressivement diminué, passant peu à peu de cinq à un moine. Les graves
crises qui ont tourmenté l’humanité donnant lieu à deux guerres mondiales très
sanglantes, ne sont pas étrangères à la décadence définitive de la glorieuse
cénobie.
Le Sanctuaire et l’Hermitage, après la mort du dernier ermite Frère Antonino,
survenue le sept juin 1950, sont restés, pendant quelques temps, à nouveau
abandonnés et sont devenus la proie de vandales sacrilèges, qui ont tout
dévasté et pillé, jusqu’au tabernacle en marbre, la cloche et une grande toile
de 1815 représentant l’ordination sacerdotale de Saint Neofito avec les
mémoires chronologiques du lieu. Outre aux souffrances des hommes se sont
ensuite ajouté des gros dégâts de la vétusté des œuvres de maçonnerie.
Dans les années ’70 on donna, en commodat pendant environ quinze ans, le
Sanctuaire avec sa structure monastique dominante, à une communauté
ecclésiastique de Catane sous la direction d’un prêtre , Ildebrando Santangelo,
qui grâce à des efforts considérables et à l’aide des bénévoles ont réévalué l’
ancien ermitage.
Successivement tout l’ensemble fut confié à l’Action Catholique Diocésaine de
Syracuse, mais cette dernière, bien vite découragée par le vandalismes fut
obligée à l’abandonner.
L’Hermitage et l’Eglise, qui sont actuellement confiés à la voisine paroisse
de Brucoli, vont renaitre grâce à la garde empressée et au travail de quelques
bénévoles.
Durant l’année, l’ancienne cénobie, avec une capacité réceptive de 40 places
peut accueillir d’une façon très « spartiate » des groupes de scout, des
groupes paroissiens et ecclésiaux pendant des jours ou des semaines de
spiritualité, domaines de formation, avec la méthode de l’autogestion.
À la suite du séisme du 13 décembre 1990, en l’an 2000 ont été exécutés des
travaux de restructuration partielle à fin de les rendre plus solides et en
2007 les travaux définitifs de restauration ont commencés .
Durant la période d’été , on y célèbre la Sainte Messe de la veille de fête,
tandis que toutes les années, depuis très longtemps, tous les 5 août , fête de
la Vierge de l’Adonaï, se déroule le pèlerinage traditionnel.
À partir de 2007, tous les deux ans, la Vierge de l’Adonaï est honorée par une
fête exclusivement religieuse.
Durant cette période refleurissent l’oasis de paix chrétienne et le culte à
Marie SS. Mater Adonaï.

Pour l’accueil et les visites au Sanctuaire il faut s’adresser à la Paroisse
de Saint Nicolas à Brucoli,….0931-981313 portable 3471979657
Sur le site www adonai.too.it
http:// santuarioadonaibrucoli,blogspot.com
On peut trouver d’ultérieures informations

mercoledì 3 ottobre 2012

accoglienza al santuario Adonai di brucoli



Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove portare i giovani e i ragazzi della tua parrocchia?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove fare scoutismo marino?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove fare un campo scout?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove fare un ritiro con la tua comunità ecclesiale?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove fare un pellegrinaggio?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove svolgere un soggiorno di alcuni giorni in assoluto relax?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove concentrarti nella preghiera e nella contemplazione?

Cerchi un luogo bello e tranquillo in riva al mare dove un gruppo di famiglie vuol trascorrere qualche giorno sereno?

 

Allora lo hai trovato! È il santuario di Maria SS. Mater Adonai di Brucoli, provincia e diocesi di Siracusa.
http://www.flickr.com/photos/santuarioadonai/with/8053062786/#photo_8053062786

 
 (il santuario dell'Adonai)

 

PRESENTAZIONE DELLA STRUTTURA

 

IL SANTUARIO MARIA SS.MA MATER ADONAI

 (la sacra grotta)
È il più antico Santuario della Madonna esistente in Sicilia: la grotta-chiesa (foto n.  1)

 (la Madonna Adonai)
risultava  già utilizzata da una comunità cristiana nella seconda metà del sec III. Custodisce un antichissimo dipinto della Madonna con Bambino              (foto n. 2).
 (interno del convento diurno)

Accanto alla Chiesa è sorto nel XVI sec. un suggestivo cenobio  (foto n.3) successivamente ingrandito.
(interno del convento notturno)

La struttura di accoglienza del Santuario di Maria SS.ma Mater Adonai di Brucoli utilizza l’antico cenobio-convento da poco restaurato (foto n. 4).

È utilizzabile per ritiri parrocchiali, attività catechistiche e di oratorio, campi di formazione, campi scout, convivenze, pellegrinaggi, soggiorni per gruppi, colonie estive, ecc.
 (a soli 150 metri dal mare)

Si trova nei pressi di Brucoli, (foto n. 5) a soli 150 dal mare (foto n. 6), a cui si accede senza difficoltà. In mezzo alla scogliera c’è anche una piccola spiaggetta (foto n. 7).
      (spiaggetta Adonai)

È usufruibile durante tutto l'anno, non solo in estate. La temperatura interna della casa è gradevole sia d’estate che d’inverno.
 (campo parrocchiale Chiesa madre Melilli)
 

 (è sempre primavera)
 
Il clima è mite: da giugno a settembre il clima è stabile e solitamente non ci sono precipitazioni (tranne occasionali e rari temporali). Durante l’anno le condizioni climatiche sono simili a quelle regionali, ma trovandosi nella Sicilia sud-orientale le precipitazioni sono più rare.

Offre attualmente 52 posti letto disposti su 16 stanze (foto n. 8) con 15 letti a castello (foto n. 9).

La struttura viene concessa in autogestione. È consigliabile che il gruppo da ospitare non sia inferiore alle 35 unità.
 (momenti di riflessione)

È adatto ad ospitare soprattutto gruppi giovanili, associazioni o persone che non cercano il comfort delle strutture a 5 stelle.











 

 (foto n. 10)                                                              (foto n. 11)

I bagni sono comuni e divisi in due batterie (foto n. 10).

Una sola stanza è dotata di bagno interno completo.

La struttura dispone di un bagno per disabili (doccia, wc e lavandino). (foto n. 11)

 

Le docce interne sono 8 con tre boiler, 6 lavandini interni, 4 pilozze esterne, (foto n. 12)

 8 wc, 5 bidet. Durante l’estate si usano le docce esterne (attualmente sette). (foto n. 13)

 




È  dotata di cucina attrezzata con stoviglie, pentole, posate, frigo e congelatore. (foto n. 14)

 

Cappella pubblica, sala riunioni da 50 posti (foto n. 15), ampio refettorio (foto n. 16), spazio per parcheggio (foto n. 17), e spazi esterni recintati e ombreggiati (foto n. 18). È presente l’impianto tv ma senza televisore.

L’acqua viene attinta dal pozzo del santuario (foto n. 19): buona per usi umani, ma non possiamo garantire la assoluta potabilità. Teniamo delle taniche che i gruppi riempiono alla fontanella pubblica del paese.

Il santuario non ha servizio pullman, occorre una macchina privata.

Possibilità di accordo per fornitura pasti con impresa locale. Nei dintorni ci sono mercati rionali e supermercati vari.

VISTA LA PECULIARITA’ DELLA STRUTTURA ATTUALMENTE, PUR ESSENDOCI LA DISPONIBILITÀ  NON SI POSSONO OSPITARE  DUE GRUPPI TRANNE CHE QUESTI NON SI ACCORDINO.

È in allestimento un’area per posti tenda e per sosta pellegrinaggi. (foto n. 20)

 

PER MOTIVI PRECAUZIONALI GLI ANIMALI DOMESTICI NON POSSONO ESSERVI ACCOLTI.

 

COME ARRIVARE

 

COME RAGGIUNGERE IL SANTUARIO DI S. MARIA ADONAI DI BRUCOLI

IN TRENO:

Scendere alla Stazione FS di Augusta (SR);

prendere il bus urbano N. 3 per Brucoli;

subito dopo aver superato il passaggio a livello di Brucoli al 1° incrocio girare a sinistra e seguire la strada  asfaltata fino a raggiungere il villaggio Turistico Aeroviaggi “Brucoli Village (ex Valtur).

davanti al piazzale d’ingresso di Brucoli Village proseguire sulla sinistra per circa 800 m.

in mezzo ad una macchia di verde si intravede il campanile (siete arrivati)

 

DALL’AUTOSTRADA:

uscire allo svincolo Lentini per chi viene da Nord;

uscire allo svincolo Augusta per chi viene da Sud;

Lasciare l’autostrada allo svincolo Lentini Carlentini  (lo svincolo successivo è Augusta Villasmundo) mantenendosi nella corsia di uscita e immettersi sulla vecchia SS 114 direzione Siracusa Augusta;

seguire la segnaletica per Siracusa- Augusta-Brucoli o Madonna di Adonai, Eremo Adonai.

subito dopo aver superato il passaggio a livello di Brucoli al 1° incrocio girare a sinistra e seguire la strada  asfaltata fino a raggiungere il villaggio Turistico Aeroviaggi “Brucoli Village (ex Valtur).

davanti al piazzale d’ingresso di Brucoli Village proseguire sulla sinistra per circa 800 m.

in mezzo ad una macchia di verde si intravede il campanile (siete arrivati).

 

NB: provenendo da nord e uscendo allo svincolo di AUGUSTA VILLASMUNDO si allunga di 16 km.

In loco è possibile noleggiare pulman per escursioni.

 

A chi chiedere informazioni per l’ospitalità

 

info: Parrocchia S. Nicola Brucoli 0931981313 cell. 3471979657

 

COSA VEDERE A BRUCOLI

 

La chiesa parrocchiale  dedicata a san Nicola (foto n. )

 

Il castello aragonese (XIV sec) (foto n. )

 

Il porto Canale (foto n. )

 

Il santuario della Madonna di Adonai (foto n. )

 

Il paesaggio (foto n. )

 

Il villaggio preistorico (foto n. )

 

 

I dintorni di Brucoli:

 

Augusta: km 5  (foto n. )

 

Lentini: km 20

Siracusa: km 35

Catania: km 35

ETNA: km 50

La necropoli di Pantalica e la valle dell’Anapo: km 40

 

OSPITALITÀ  e RISTORAZIONE A BRUCOLI

 

Brucoli è una rinomata località marinara della Sicilia Orientale.

 

Alberghi:

Brucoli Village

Hotel Campolato

Hotel Venus

Bred Breakfast

 

Ristoranti: (il menu solitamente è a base di pesce)

il chiosco

il castello

la lanterna

i rizzari

il sipario

trattorie stagionali

 

pizzerie:

Miramare

Sipario

Uliveto

 

supermercati

Abramo (in paese)

Grandi supermercati ad Augusta

Ogni giovedi ad Augusta si svolge la fiera mercato.

 

Costi contenuti: 

Il contributo per l'accoglienza va concordato a seconda del numero degli ospiti e della durata del soggiorno.

In aggiunta è richiesto un contributo per luce, acqua e gas.

ALTRE INFORMAZIONI


 

Planning 2012:

dicembre: 27-29
31 dic - 01 gen 2013

planning 2013:
periodi già prenotati nel 2013:
gennaio 2-3: in trattativa
giugno: libero

luglio 1-12
28 luglio-2 agosto

agosto: 10-24
agosto: 26-30

settembre: libero
 

lunedì 14 novembre 2011

informazioni su santuario Adonai in spagnolo


EL SANTUARIO Y EREMO DE MARIA SS. MATER ADONAI
BRUCOLI (SR) ITALIA

El Santuario de S. Maria Adonai surge cerca de Brucoli; a unos diez metros de distanzia del mar, se refleja en las aguas golfo de Catania, en el norte de la provincia y diòcesi de SR.
Segùn antiguas tradiciones y atestaciones, hechas tambièn por varios escritores del siglo XVI y XVII este Santuario parece ser un oratorio Paleocristiano, y una de las primeras iglesias dedicadas al culto de Maria SS., asì como lo testimonia el nombre ebraico “Mater Adonai” (Madre de mi Señor). De seguro es el Santuario Mariano màs antiguo de Sicilia y tal vèz del mundo cristiano occidental.
Una presencia cristiana en este lugar se atestigua a partir del año 253 de la era cristiana.
El oratorio dedicado a M. SS. Mater Adonai. fuè fundado en la primera mitad del siglo III por un cristiano de nombre Publio de Trotilo, en una de las muchas cuevas de un hipogeo preesistente, llamadas “cuevas del griego”, cuevas habitadas deisde la prehistoria y despuès por los griegos en el siglo VIII a.C. en el tiempo de la colonizaciòn griega de la Sicilia.
En estas cuevas muy aisladas trasformadas duspuès por las Griegos en una necròpoli, se refugiaron algunos cristianos de la comunidad cristiana de Leontinoi, oprimidas por la sangrienta persecuciòn de Decio y Valeriano.
El santuario està constituido por una cueva delante de la cual, en el siglo XVIII, despuès del descubrimiento de la cueva, fuè construido un arimez de albañileria que le confiere el aspecto de una pequeña iglesia. En el fondo de la cueva se halla un fresco de la Virgen de Adonai, realizado segùn la tradiciòn de S. Agatone, obispo de Lipari que se rifugiò allì junto con otros cristianos Lentineses.
La Virgen està representada sentada sobre una nube con el niño Jesùs en los brazos, que con su mano derecha lleva una cruz, mientras que con la izquierda poya su cetro sobre el mundo. La imagen, segùn algunos estudiosos, lleva señas de varias intervenciones en el tiempo (coronas y globo) pero nadie ha podido datarla con seguridad.
En esta cueva se convirtiò a la fè cristiana Alejandro, primer ministro del tirano de Lentini, despuès del martirio de tres santos hermanos Alfio, Cirino y Filadelfo. Alejandro tomò el nombre de Bautizo de Neofito. Fuè despuès sacerdote y obispo de la comunidad Cristiana de Lentini. Una muy antigua inscripciòn encontrada en una iglesia de Lentini documenta el culto de Maria, Madre Adonai (del Señor) aùn antes del Concilio de Efeso.
En el IV siglo durante el clima de libertad religiosa instaurado por el edicto de Costantino, la cueva-oratorio volviò a caer en abandono, tambièn porque se encontraba en un lugàr desierto y muy lejos de lugares habitados. Del oratorio dedicado a Maria Mater Adonai quedò solo el recuerdo y hasta se perdieron las trazas por casi un milenio, aunque si una tradiciòn hablaba de una cueva con la imagen. De una Virgen que nadie habìa nunca màs encontrado. Se puede admitir por hipotesis que en el tiempo de las invasiones arabes en Sicilia esta cueva fuè escondida para evitar qua fuese destruida como otros simbolos de la fè cristiana.
El nuevo descrubimiento de la cueva con el fresco de la Virgen fuè probablemente entre el 1500 y 1600. Se cuenta que un pastorcito la descubriò de manera extraña y para muchos milagrosa. El pastorcito despuès de librar un buey que se habìa caido en un hueco da la tierra, que en realidad era una lucerna de la cueva-oratorio, fuè atraido por una misteriosa luz intensa que brillaba en la cavedad que estaba abajo: bajandò se a travès de la lucerna descubriò la imagen de la Virgen con el Niño.
El lugar fuè enseguida meta de pelegrinos y despuès de algunos años, cerca de la iglesia fuè costruido un pequeño cenobio (hay conocido como “ermita”) por unos soldatos Españoles que habìan ido allì casualmente, pero que se quedaron asombrados por la belleza de la imagen y del lugar. Abandonada la vida militar fundaron la Comunidad monastica laica de Adonai que ha existido hasta el 1950 año de la muerte del ùltimo fraile.
Estos cenobitas observaban una regla suya que era una mezela de reglas benedectinas y cistercenses. Esta Comunidad se caracterizò por llevar una vida de santidad y por el culto de la Sagrada imagen de la Virgen Maria.
El Santuario es una de las màs antiguas iglesias de la Italia meridional y en particular de la Sicilia sur-oriental que ha sobrevivido al catastròfico terremoto del 11 de Enero del 1693 que destrujò un tercio de Sicilia y causò muchas victimas. Documentos notariales documentan la existencia de la iglesia de la Adomai ya desde el 1600.
En la primera mitad del siglo XVIII Luìs de Leòn de Faenza con un grupo de voluntarios reconstruyò el ermita con 18 celdas (las actuales) restaurò y hizo màs grande el oratorio construyendo un arimez formando la actual iglesia.
La Comunidad floreciò durante todo el siglo XVIII y XIX bajo la direcciòn de grandes figuras como Fra Luis De Leon da Faenza, Fra Luis Bellieri de Pavia (fundador del ermita S. Corrado en Noto), Fra Alfio Drago de Melilli e Fra’ Alfonso Vigo de Acireale.
En el siglo XVIII el ermita tuvo su periòdo de maximo exsplendor con reflocimiento del culto de la Virgen de Adonai.
En el febrero de 1740, los frailes de Adonai obtuvieron la clausura pontificia, pero en la segunda mitad del siglo XIX la Comunidad empezò a decaer hasta que el cenobio quedò vacio desde el 1809 hasta el 1839. En este tiempo la indiferencia y el abandono volvieron la iglesia en condiciones muy miseras, casi unas ruinas, y el lugar sin custodia fuè robado de todo.
En el 1839 ocho ermitas bajo la guia de Fra’ Alfonso de Jesùs y Maria (de los marqhises de Vigo de Acireale) poblaron de privados y de ordenes Religiosas (en particulas las Clarissos y benedectinos de Catania). La Iglesia fuè restaurada, limpiada, y llenada de reliquias y quadros ensperados a la historia del oratorio.
En el 1841 el Papa Gregorio XVI concediò la indulgencia plenaria a todas los que hubieran visitado el santuario, despuès de confesarse, en el dìa de los fiestas marianas (5 de Agosto) La Virgen de la Concepcion, la Natividad de la Virgen, la Purificaciòn y la Asunciòn y declarò Sagrado, diario y perpetuo el altar debayo de la imagen de la Virgen.
Este altar fuè però destruido en el 1847 para dar lugar al actual que con un marco de marmo policromo enganza como en un cuadro la imagen de la Virgen , y durante el arreglo de la sagrada cueva fueron halladas bayo el piso las tumbas de los antiguos eremitas.
Un turbulento perìodo fueron los años 1860-1873, cuando a causas de las leyes eversivas del nuevo gobierno Italiano, los monjes de Adonai corrieron el riesgo de verse confiscado el cenobio y todo ese periodo tuvieron que vivir en el convento con los obreros del cercano ferrocarrìl ya que el gobierno se lo habìa permitido .
Tambièn en el siglo XIX la comunidad de Adonai tuvo otro periodo de crisi my fuerte.
En los primeros años del siglo Xxel numero e frailes se ha ido reduciendo pasando de cinco a uno. Causa de la decadencia definitiva del glorioso cenobio han sido tabien’ las graves crisis que han atormentado la humanidad desembocando en las dos muy sangrientas guerras mundiales.
El Santuario y el Eremita, despuès de la muerte del ultimo ermitario. Fra Antonino acontecida el 7 de Junio del 1950,se han quedado de nuevo abandonados y se han vuelto presa de ladrones y sacrilegos que han devastado y robado todo, hasta el tabernàculo de marmo, la campana y la grande tela del 1815 que representaba la ordenaciòn sacerdotal de S.Neofito con las memorias cronologicas del sitio. A los daños del hombre se han añadido la vejez de las obras albañiles.
In los años setenta (70) el Santuario y el monasterio se dieron en comodato por 15 años a una Comudidad religiosa de Catania bajo la guia del sacerdote Ildebrando Santangeel, que con grandes esfuerzos y la ayuda de voluntarios han valorado el antiguo ermita.
Màs tarde todo eso se lo dieron a la Acciòn Catòlica diocesiana de Siracusa, pero esta pronto lo dejo a causa del vandalesmo.
Se lo han encargado, en la actualidad a la cercana parroquia de Brucoli, el ermita y la iglesia van resurgiendo de las ruinas gracias a la guarda y al trabajo de algunos voluntarios.
Durante el año, el antiguo cenobio, que cabe 40 puestos, puede alojar de manera muy simple grupos scout, parroquiales y religiosos en dias o semanas de espiritualidad, campos de formaciòn con el mètodo de autogestiòn.
Despuès del terremoto del 13/12/1990, en el año 2000 se han hecho trabajos de reconstruciòn y consolidaciòn, mientras que en el 2007 han empezado los trabajos de restauro. En Verano se celebra la misa prefiesta, y cada año el 5 de Agosto, fiesta de la Virgen de Adonai se hace el tradicional pelegrinaje. Desde el 2007 en años alternos se celebra la Virgen de Adonai con una fiesta esclusivamente religiosa. Reflorece el oasis de paz y el culto de Maria SS. Mater Adonai.

Traduzione a cura della prof.ssa Erminia Belluso

sabato 30 aprile 2011

VENGA AD AUGUSTA, SIGNOR PRESIDENTE

http://www.facebook.com/note.php?created&¬e_id=180509481997634#!/notes/palmiro-prisutto/venga-ad-augusta-signor-presidente/180509481997634

Lettera aperta al Presidente della Repubblica italiana
nel 150 anniversario dell’unità d’ Italia
da parte di un cittadino comune che fa fatica a considerarsi italiano come gli altri.

Venga Presidente.

Egregio Sig. Presidente,

nel settembre 2005 inviavo al suo predecessore una petizione sottoscritta da 2500 cittadini maggiorenni di Augusta, identificabili con numero documento di identità riportato accanto alle loro firme rigorosamente autografe.
Con tale petizione si invitava il suo predecessore ad una visita di stato ad Augusta. Non era stato ancora programmata la visita successivamente avvenuta il 12 gennaio 2006.
A visita avvenuta la segreteria generale della Presidenza volle scusarsi adducendo la motivazione che la petizione era arrivata fuori tempo, quando il programma della visita era stato definito. Ovviamente non era facile venire in provincia di Siracusa e parlare di territorio dichiarato dall’Unesco Patrimonio dell’Umanità e subito dopo venire a visitare l’altra parte del territorio della stessa provincia che potrebbe essere considerato a buon diritto “pattumiera dell’umanità”.
All’epoca già erano censiti ben 18 impianti a rischio di incidente rilevante e altri 7 erano già stati programmati. Il tutto su una delle aree già dichiarate a rischio ambientale oltre che a rischio sismico e militare.
L’unico accenno che il suo predecessore volle fare nel suo discorso su tale vicenda fu quello che riporto nelle righe seguenti.
Dal Discorso di Ciampi a Siracusa il 12 gennaio 2006.
Rinnovo a tutti voi quelle esortazioni; ben sapendo che la concertazione fra tutte le istituzioni e tutte le forze sociali ed economiche impegnate in progetti di sviluppo non è cosa semplice. Occorre fare scelte difficili, e avere il coraggio di farle, soppesandone i costi e i benefici. Ma soprattutto occorre essere convinti della utilità, della necessità del "dialogo", ed avere la forza, l'umiltà, la pazienza di praticarlo.
Bisogna conciliare, nel rispetto delle vocazioni naturali del territorio, opinioni, progetti, esigenze tra loro talvolta contrastanti: come quelle fra lo sviluppo industriale e la protezione, anch'essa necessaria ed anzi prioritaria, dell'ambiente e della salute dei cittadini. A riparare i danni e il degrado derivanti da incurie del passato bisogna provvedere con alto senso di responsabilità.
Ma nessuna provincia o regione, e certo non la provincia di Siracusa, con il suo ancor valido polo petrolchimico, può ignorare l'importanza dell'industria, e le ricadute positive che le grandi imprese hanno avuto ed hanno su tutto il tessuto produttivo ed economico del territorio.
E non hanno certo importanza secondaria agricoltura e turismo. E' giusto indirizzare sempre più l'agricoltura verso produzioni di alta qualità: è quello che, del resto, già si sta facendo, come ho potuto constatare in tutte le mie visite alle province siciliane.
CARLO AZEGLIO CIAMPI
Purtroppo, lo dico con grande rammarico, la venuta di Ciampi a Siracusa fu una grande delusione, soprattutto perché 2500 cittadini non ebbero la risposta che si aspettavano, così come il territorio che attendeva una sua visita.
Grande delusione conservo ancora nel cuore, riguardo un altro suo predecessore, Cossiga, che in occasione del terremoto del 13 dicembre 1990, non si degnò di portare la solidarietà della Nazione ai terremotati siciliani. Venne il mese dopo in Sicilia per inaugurare il tribunale di Gela, ma neanche di passaggio si fermò a visitare le tendopoli dei terremotati.
Rinnoviamo, oggi quello stesso invito alla sua persona, sperando che - nell’anno del 150° - possa trovare accoglienza.
Mi permetta però, Signor Presidente di usare dei toni forti per quest’invito, ma sono costretto a farlo in difesa della mia terra e della gente di questo territorio.
Nella E-mail che le ho inviato lo scorso 23 aprile, ho parlato di un “ANNIENTAMENTO PROGRAMMATO” della popolazione di questo territorio, ma ho valide ragioni da esporre.













Venga, Signor Presidente, a vedere anche le piccole realtà e non solo quelle dei capoluoghi;
venga, Signor Presidente, in quell’area dichiarata a rischio nel lontano 30 novembre 1990 per dirci quanto di quel decreto è stato attuato e ci spieghi perché la chiusura dell’ospedale di Augusta è un fatto ineluttabile;
venga, Signor Presidente, a parlarci dell’art. 32 della costituzione, ma dopo aver incontrato i medici del territorio di Augusta;
venga, Signor Presidente, a parlare di tutela della salute in un luogo dove l’ospedale è considerato superfluo, ma dopo aver letto l’atlante delle patologie,
venga a parlare del valore e della la tutela della vita in una terra dove una donna su due abortisce,
venga a dire una parola di conforto a quelle donne che hanno dovuto sacrificare le loro creature per non vederle nascere con gravi handicap;
venga a consolare le mogli ed i figli dei tanti morti di cancro di Augusta;
venga, Signor Presidente, a parlarci di tutela dell’ambiente e del paesaggio, ma solo dopo aver visto l’area circostante il porto di Augusta;
venga Presidente a parlare di smaltimento di rifiuti, ma solo dopo aver detto che nei fondali del porto di Augusta giacciono 18 milioni di metri cubi di fanghi tossici;
venga a mangiare il pesce al mercurio del nostro mare che si continua a vendere nell’indifferenza;
venga, Signor Presidente, a spiegarci il perché mentre l’Europa dice che “chi inquina paga” qui “chi ha inquinato non deve pagare” addirittura non è perseguibile e per di più ottiene il condono.
venga a parlare di sicurezza lavoro nel luogo dove si registra un incidente ogni cinque giorni,
venga, Signor Presidente, a parlare della dignità del lavoro in un territorio dove gli incidenti vengono taciuti o minimizzati,
venga a parlare ai proprietari delle aziende del polo petrolchimico per dire loro che la vita e la salute vengono prima del profitto;
venga a parlare di lavoro ed occupazione in un luogo dove il tasso di disoccupazione è inversamente proporzionale alla ricchezza prodotta;
venga a parlare di libertà in una terra dove il ricatto occupazionale condiziona drammaticamente la vita sociale degli abitanti;
venga, Signor Presidente, a parlare di democrazia in un territorio in cui la volontà popolare evidente e plebiscitaria espressa con due referendum è stata vilipesa da istituzioni compiacenti ed asservite alle lobby economiche;
venga a parlare di sicurezza su una delle aree più sismiche del paese, ma dove una cordata di imprenditori senza scrupoli vuole realizzare per forza un rigassificatore di cui il territorio non ha alcun bisogno;
venga a vedere come ancora esistono ferite ancora aperte dal terremoto del 1990 benché siano passati due decenni,
venga a vedere una città potenzialmente ricca, ma depredata da chi vorrebbe un federalismo ladro e bugiardo;
venga a parlarci di futuro, di sviluppo, di turismo e di beni storici, artistici e culturali, ma dopo aver sostato sulle rovine di Megara Hiblaea ……….
Venga, non ci deluda, ci faccia capire che l’Italia è una!
Brucoli, 30 aprile 2011
Sac. Prisutto Palmiro

Link utili:
http://www.quirinale.it/qrnw/statico/ex-presidenti/Ciampi/dinamico/visita.asp?id=28399
http://www.quirinale.it/qrnw/statico/ex-presidenti/ciampi/dinamico/discorso.asp?id=28397
http://www.radioradicale.it/scheda/86963/87268-visita-del-presidente-della-repubblica-oscar-luigi-scalfaro-a-siracusa-presso-la-prefettura

giovedì 11 novembre 2010

Santuario Adonai Informazioni in Francese







Sanctuaire et Hermitage de la Sainte Vierge, Notre Dame d’Adonaï
Brucoli (SR)

Le Sanctuaire de la Sainte Vierge, Mère de l’Adonaï, s’élève aux alentours de Brucoli, à quelques dizaines de mètres de la mer en se reflétant dans les eaux du golfe de Catane, dans la partie nord de la province et le diocèse de Syracuse.
Selon d’anciennes traditions et de témoignages, repris aussi par plusieurs écrivains du XVIIe siècle, ce Sanctuaire résulte être un oratoire paléochrétien et une des premières églises dédiées au culte de Marie SS. comme le témoigne le titre hébreu « Mater Adonaï » (Mère de mon Dieu). C’est surement le Sanctuaire de Marie, le plus ancien de la Sicile et peut-être, aussi du monde chrétien occidental. Une présence chrétienne dans ce lieu est documentée dès l’année 253 de l’ère chrétienne.
L’oratoire dédié à Marie SS. Mater Adonaï fut fondé dans la première moitié du IIIe siècle par un chrétien appelé Publio de Trotilo, dans une des nombreuses grottes d’un hypogée préexistant, appelées « grottes du Grec », grottes habitées dès la préhistoire et successivement par les Grecs au VIIIe siècle avant Jésus Christ, au temps de la colonisation grecque de la Sicile.
Dans ces grottes, assez isolées, successivement transformées par les Grecs en une nécropole, se refugièrent quelques chrétiens de la communauté chrétienne de Lentini, opprimée par la sanglante persécution de Decio et Valeriano. Le Sanctuaire est constitué d’une grotte devant laquelle, au XVIIe siècle, après sa découverte, a été construit un avant-corps en maçonnerie qui lui donne l’ aspect d’une église petite et modeste.
Sur le mur au fond de la grotte , sur la roche vive, on trouve la fresque de la Mère de l’ Adonaï , réalisée, selon la tradition, par Saint Agatone, évêque de Lipari, qui s’était refugié dans ce lieu avec des chrétiens de Lentini. La Vierge est représentée assise sur une couronne de nuages. Elle tient dans ses bras l’Enfant Jésus qui de sa main droite empoigne une croix tandis que de la gauche pose son sceptre sur le monde. L’image, selon l’avis des savants porte les signes de plusieurs interventions qui se sont suivies dans le temps (couronnes et globe), mais personne n’a été jusqu’à ce moment à même d’en dater ,avec sureté l’âge.
Dans cette grotte se convertit à la foi chrétienne Alexandre 1ère ministre du tyran de Lentini, survenu après le martyre des trois frères Saint Alfio, Saint Cirino et Saint Filadelfo. Après son baptême, Alexandre prit le nom de Neofito.
Ensuite il devint Prêtre et le premier Evêque de la communauté chrétienne de Lentini. Une très ancienne inscription retrouvée dans une église de Lentini témoigne le culte à Marie comme Mère de notre Seigneur Jésus Christ (Mère Adonaï ) bien avant le Concile d’Efeso.
Au IVe siècle durant le meilleur climat de liberté religieuse instauré par l’ Edit de Constantin, cette grotte fut abandonnée aussi, parce qu’elle était située dans un lieu désert loin des lieux habités. De l’oratoire à Marie Mater Adonaï il ne reste que le souvenir, et on est perdit même les traces pendant environ mil ans, même si une tradition rappelait le souvenir d’une grotte grâce
à une image de la Vierge que personne n’avait plus retrouvée. On pourrait penser qu’à l’époque de l’invasion arabe de la Sicile, cette grotte fut cachée pour éviter sa destruction comme le furent de nombreux autres symboles de la foi chrétienne.
La redécouverte de la grotte avec la fresque de la Vierge eut lieu probablement entre le XIVe et XVe siècle. On raconte qu’un berger la découvrit d’une façon étrange et peut-être miraculeuse. Après avoir libéré un bœuf qui était tombé dans un trou du terrain, après identifier comme la lucarne de l’oratoire, le berger fut attiré par une lumière intense et mystérieuse qui
brillait à l’intérieur du trou : il descendit à travers la lucarne et découvrit une image illuminée de la Vierge avec son Enfant.
Le lieu devint immédiatement la destination de pèlerinages et quelques années après, à coté de la petite église fut construite une petite cénobie (aujourd’ hui plus connus comme ermitage) par un groupe de soldats espagnols, qui étaient arrivés là pour une visite occasionnelle, mais il restèrent enchantés par la beauté de l’image et du site. Après avoir abandonné la vie militaire ils
donnèrent vie à la Communauté monastique laïque de l’Adonaï, très particulière, existée jusqu’en 1950, an de la mort du dernier moine.
Ces cénobites observaient leur propre règle tirée en partie de la fusion des règles bénédictines et cisterciennes. Cette Communauté de cénobites se distingua par la vie de sainteté et par la promotion du culte de l’image sacrée de la Vierge Marie.
Le Sanctuaire de l’Adonaï constitue aussi une des plus anciennes églises de l’ Italie méridionale et en particulier, de la Sicile sud orientale, survécue même au séisme catastrophique du 11 janvier 1693 qui rasa au sol et provoqua un épouvantable bilan de vies humaines, presque un tiers de la Sicile. Des documents notariaux témoignent de l’existence de l’église de l’Adonaï dès le début du XVIIe siècle.
Durant la première moitié du XVIIIe siècle, Louis de Léon de Faenza se mit à la tête d’un groupe de volontaires, reconstruit à zéro l’ermitage avec 18 cellules (celles d’aujourd’hui), restaura et rendit encore plus grand l’ oratoire, édifiant un avant-corps et formant ainsi la petite église actuelle.
La Communauté eut un grand succès pendant tout le XVIIIe siècle et XIXe siècle sous la direction de grands personnages comme, Frère Louis de Léon de Faenza, Frère Luis Bellieri de Pavie (le fondateur du célèbre Hermitage de Saint Corrado à Noto) Frère Alfio Drago de Melilli et Frère Alfonzo Vigo de Acireale.
Au XVIIIe siècle l’Hermitage eut sa plus grande période de splendeur et par conséquence une renaissance du culte de la Vierge Mère de l’Adonaï. En février 1740 les Frères de l’Adonaï obtinrent la clôture pontificale mais durant la première moitié du XIXe siècle la Communauté tomba dans la décadence, et ainsi la cénobie resta vide de 1809 à 1839. Pendant tout cet période, l’indifférence et l’abandon réduisirent la petite église et l’hermitage dans des conditions
très misérables, presque des ruines, et le lieu resté en abandon fut pillé et dépouillé complètement. En 1839 huit hermites sans la direction de Frère Alfonse de Jésus et Marie (des marquis Vigo de Acireale), repeupleront l’ hermitage et grâce à l’aide généreuse des privés et des Ordres religieux (surtout les Clarisses et les bénédictins de Catane) l’église fut restaurée. La
petite église fut nettoyée (à nouveau), ornée et remplie de reliques et de tableaux inspirés à l’histoire de l’oratoire.
En 1841 le Pape Grégoire XVI accorda l’indulgence plénière à touts ceux qui, s’ étant confesses et ayant communié, auraient visité le sanctuaire le Jour de fêtes de Marie Mater Adonaï (5 août), de l’Immaculée Conception, de la Nativité de la B.V.M. , de la Purification et de l’Assomption et déclara « Autel privilégié quotidien perpétuel » l’autel situé au-dessus de l’image de la B.V.M.
Cet Autel du XVIIe siècle fut néanmoins démantelé en 1847 pour être substitué par l’autel actuel qui avec une sorte de corniche en marbre polychrome encastre, comme dans un tableau, l’image de la Vierge, et au cours de l’ aménagement définitif de la grotte sacrée on retrouva, sous le pavé, les tombeaux des anciens ermites.
Les années allant de 1866 à 1876 furent très agitées, quand à la suite des lois subversives du nouvel Etat italien, les moines de l’Adonaï risquèrent de se voir confisquer la cénobie et tout ce qu’ils possédaient.
À ce propos naquit une querelle judiciaire qui se conclut avec la victoire des frères, même si pendant toute cette période, il durent vivre, malgré eux, à l’ intérieur du couvent avec les ouvriers travaillant au chemin de fer voisinant, en construction, et le Gouvernement leur donna la permission d’habiter à l’ Adonaï.
Même à la fin du XIXe siècle, la communauté de l’Adonaï dut subir une nouvelle période de crise momentanée, mais terrible.
Durant les premières années du XXe siècle le nombre des moines a progressivement diminué, passant peu à peu de cinq à un moine. Les graves crises qui ont tourmenté l’humanité donnant lieu à deux guerres mondiales très sanglantes, ne sont pas étrangères à la décadence définitive de la glorieuse cénobie. Le Sanctuaire et l’Hermitage, après la mort du dernier ermite Frère Antonino, survenue le sept juin 1950, sont restés, pendant quelques temps, à nouveau abandonnés et sont devenus la proie de vandales sacrilèges, qui ont tout dévasté et pillé, jusqu’au tabernacle en marbre, la cloche et une grande toile de 1815 représentant l’ordination sacerdotale de Saint Neofito avec les mémoires chronologiques du lieu. Outre aux souffrances des hommes se sont ensuite ajouté des gros dégâts de la vétusté des œuvres de maçonnerie.
Dans les années ’70 on donna, en commodat pendant environ quinze ans, le Sanctuaire avec sa structure monastique dominante, à une communauté ecclésiastique de Catane sous la direction d’un prêtre , Ildebrando Santangelo, qui grâce à des efforts considérables et à l’aide des bénévoles ont réévalué l’ ancien ermitage.
Successivement tout l’ensemble fut confié à l’Action Catholique Diocésaine de Syracuse, mais cette dernière, bien vite découragée par le vandalismes fut obligée à l’abandonner.
L’Hermitage et l’Eglise, qui sont actuellement confiés à la voisine paroisse de Brucoli, vont renaitre grâce à la garde empressée et au travail de quelques bénévoles.
Durant l’année, l’ancienne cénobie, avec une capacité réceptive de 40 places peut accueillir d’une façon très « spartiate » des groupes de scout, des groupes paroissiens et ecclésiaux pendant des jours ou des semaines de spiritualité, domaines de formation, avec la méthode de l’autogestion.
À la suite du séisme du 13 décembre 1990, en l’an 2000 ont été exécutés des travaux de restructuration partielle à fin de les rendre plus solides et en 2007 les travaux définitifs de restauration ont commencés .
Durant la période d’été , on y célèbre la Sainte Messe de la veille de fête, tandis que toutes les années, depuis très longtemps, tous les 5 août , fête de la Vierge de l’Adonaï, se déroule le pèlerinage traditionnel.
À partir de 2007, tous les deux ans, la Vierge de l’Adonaï est honorée par une fête exclusivement religieuse.
Durant cette période refleurissent l’oasis de paix chrétienne et le culte à Marie SS. Mater Adonaï.

Pour l’accueil et les visites au Sanctuaire il faut s’adresser à la Paroisse de Saint Nicolas à Brucoli,….0931-981313 portable 3471979657
Sur le site www adonai.too.it
http:// santuarioadonaibrucoli,blogspot.com
On peut trouver d’ultérieures informations

Santuario Adonai Informazioni in Inglese







THE SANCTUARY AND HERMITAGE OF SAINT MARY MATER ADONAI
BRUCOLI (SIRACUSA)

The Sanctuary of Saint Mary Mater Adonai can be found near Brucoli, a few metres from the sea, mirroring itself in the waters of the Gulf of Catania, in the northern part of the province, in the Diocese of Siracusa.
According to ancient traditions and testimonies taken from the writings of the 16th and 17th centuries, the Sanctuary seems to have been a paleo-christian oratory and one of the very first churches dedicated to St. Mary which can be confirmed by its Jewish name of “Mater Adonai”(= Mother of my God). It is definitely the oldest sanctuary dedicated to St. Mary in Sicily and perhaps even in the western Christian world. A Christian presence in this area has been



documented since the year 253 of the Christian era. The Oratory, dedicated to St. Mary – Mater Adonai was founded during the first half of the 3rd century by a Christian by the name of Publio, from Trotilo, in one of the numerous caves of a pre-existing hypogeum, named “the grotto of the Greek”. These caves were inhabited since prehistory and by the Greeks in the 8th century B.C. during the Greek colonisation of Sicily.
In these isolated caves, latterly transformed by the Greeks into a necropolis, some Christians from the Christian community of Leontinoi (Lentini) who were oppressed by the bloody persecution of Decio and Valeriano, found refuge.
The sanctuary consists of a cave, in front of which after its discovery in the 17th century, a brick building was constructed which gives it the aspect of a modest church. On the wall of the cave there is a fresco of the Madonna of Adonai created according to the tradition of St. Agatone, Bishop of Lipari, who also took refuge here together with the Christians from Lentini. The Madonna is shown to be sitting on a cushion of clouds with Baby Jesus in her arms, who
is holding a cross in his right hand, and in his left hand he rests his sceptre on the world. According to the views of the scholars, this picture shows the signs of various additions over the years (the crown and globe) but up to now, no-one has been able to give an exact age to the fresco.
Alexander, the Prime Minister of the tyrant of Lentini, was converted to the Catholic faith in this cave, after the martyrdoms of three brothers, Alfio, Cirino and Filadelfo, who attained sainthood. After his baptism, Alexander took the name of Neofito and later became a priest and the first Bishop of the Christian community of Lentini. An ancient inscription found near a church in Lentini, documents the cult of Mary as the Mother of God (Adonai) even earlier than the ecumenical Council of Efeso.
In the 4th century in the new climate of religious freedom, which was established by the Edict of Constantine, the cave-oratory was abandoned, probably because it was situated in a lonely place a long way from other dwellings. From the oratory dedicated to Mother Mary Adonai, only the memory remained, and even this was lost without trace for about 1,000 years, even though tradition handed down the memory of the cave with the picture of the Virgin Mary, which



no-one had ever found. One hypothesis is that at the time of the Arab invasion of Sicily, this cave was hidden to avoid its destruction, as happened to many other symbols of the Christian faith.
The discovery of the cave with the fresco of the Madonna probably happened between 1500 and 1600. Legend has it that a shepherd found it in such a strange way, that many consider it a miracle. The shepherd, after having freed a bull which had fallen into a hole in the ground, - which later was found to have been the skylight of the cave-oratory – was attracted by a mysterious bright light which shone in the underground cavity. Climbing down through the skylight, he discovered the luminous picture of the Madonna and Child.
This place immediately became a destination for pilgrimages and after some years, a small monastery was built next to the church (today it is commonly known as a hermitage) by a group of Spanish soldiers, who had passed there by chance, and who were captivated by the beauty of the portrait and its location. They abandoned their military career and formed the monastic lay
community of the Adonai, which continued to exist until 1950, the year of the death of the last Brother.
These monks observed their own rules, a part of which was from the fusion of the Benedictine and Cistercian Rules. This community of monks distinguished itself by its saintly life and by the furtherance of the cult of the sacred image of Mary.
The Sanctuary of Adonai also contains one of the oldest churches in the south of Italy and in particular in south-eastern Sicily, which survived the catastrophic earthquake of 11th January 1693 which razed to the ground nearly a third of the whole of Sicily, with a terrible loss of human life. Notarised documents proving the existence of the church of the Adonai can be traced back to early 1600 A.D.
In the first half of the 18th century, Luigi De Leon from Faenza, who was at the head of a group of volunteers, completely rebuilt the hermitage with 18 cells (which still exist) restored and enlarged the Oratory, constructing a building in front of it, which became the present small church.
The community flourished during the 18th and 19th centuries under the guidance of important people, such as Brother Luigi Deleon from Faenza, Brother Luigi Bellieri from Pavia (who was later to become the founder of the famous hermitage of San Corrado at Noto) Brother Alfio Drago from Melilli and Brother Alfonso Vigo from Acireale.
In the 18th century the hermitage had its period of maximum splendour with the onsequent flourishing of the cult of the Madonna of Adonai. In February 1740 the Brothers obtained the Pontificial Closed Orders, but during the first half of the 19th century the community went into a decline, which resulted in the hermitage standing empty from 1809 to 1839. During this period, indifference and abandon left the church and the hermitage in little more than a ruin, and being unguarded, everything that was left there was stolen.
In 1839 eight hermits under the guidance of Brother Alfonso di Gesù e Maria (of the Marchesi Vigo family from Acireale) repopulated the hermitage and with the generous help of private citizens and Religious Orders (particularly the Clarisse and the Benedictine monks of Catania) the church was repaired. It was cleaned and replenished and filled with relics and paintings inspired by he history of the oratory.
In 1841 Pope Gregory XVI granted the Plenary Indulgence to those who had confessed and taken communion at the sanctuary on the day of the feast of Mother Mary Adonai (5th August); of the Immaculate Conception; of the Nativity of the Blessed Virgin Mary; of the Purification and of the Assumption and declared the altar below the image of Blessed Virgin Mary to have special
privileges (Altare privilegiato quotidiano perpetua).
However, this altar, which was built in the 17th century was demolished in 1847 to make space for the existing altar which contained the portrait of the Virgin Mary inserted into a marble frame making it seem like a painting.
During the course of the final restoration of the sacred grotto, the tombs of the original hermits were found underneath the flooring.
The years 1866-1873 were a turbulent period, when as a result of the destructive laws of the new Italian state, the monks of the Adonai risked having the monastery and all their possessions confiscated. A legal controversy took place which concluded with the victory of the Brothers, even though during this whole period, upon the instructions of the Government, they were obliged to allow the workmen who were building the nearby railway, to live in the monastery with them.
Once more, at the end of the 19th century, the community of the Adonai momentarily underwent a new period of crisis.
During the first years of the 20th century, the number of Brothers progressively diminished, decreasing gradually from five to one. The grave crisis caused by the two World Wars which touched the whole of humanity was not extraneous to the definitive decline of the glorious monastery.
Following the death of the last hermit, Fra Antonino, on the 7th June 1950, the Sanctuary and the Hermitage were left empty for some time, and became the victims of sacrilegious vandals who devastated the buildings and stole everything, even the marble tabernacle, the bell and the large painting of 1815 showing the ordaining of Saint Neofito with the chronological memory of the area. In addition to the man-made damage, there was also the damage to the brickwork caused by old age.
In the 1970s the Sanctuary and the monastic structure were lent for about 15 years to an ecclesiastical community from Catania, under the leadership of a priest (Padre Ildebrando Santangelo) who with noteworthy effort and the help of volunteers improved the ancient hermitage. Later the whole area became part of the Catholic Diocese of Siracusa, but soon the Diocese became discouraged by the vandalism and were compelled to abandon the site.
Presently it is under the jurisdiction of the nearby Parish of Brucoli and the Hermitage and the Church are coming back to life from the ruins thanks to the attentive care and the work of volunteers.
During the course of the year the old monastery, which can accommodate 40 people, is able to give hospitality, albeit spartan, to groups of scouts, parish or church groups, for days or weeks of spiritual retreats or other independent courses.
Following the earthquake of 13th December 1990, in 2000 partial renovation and consolidation works were performed. In 2007 definitive restoration works were commenced.
During the summer period Mass is celebrated during the week and every year from time immemorial each 5th August, the Feast of the Madonna Adonai, there is the traditional pilgrimage. From 2007 on alternate years, the Madonna of Adonai is honoured with a religious feast.

The oasis of Christian peace and the cult of Saint Mother Mary Adonai is being re-born.

For a meeting and visits to the Sanctuary, it is necessary to contact the
Parish of San Nicola in Brucoli, 0931-981313 Mobile 3471979657.
Further information can be found on
Website: www.adonai.too.it
http://santuarioadonaibrucoli.blogspot.com